~ I.D. ~
Nom : Donovan
Prénom : Bradley
Surnom : Angel
Âge : 26 ans
Lieu de naissance : Paris, Texas, U.S.A.
Orientation sexuelle : Pile et Face
Métier : Croupier/Fighter
Groupe : Firefox
~ INSIDE ~
Caractère :
Côté Face :
Je suis vraiment sympa comme mec. C'est vrai, je suis très facile d'approche et en général, je m'entends bien avec tout le monde. Je suis du type rigolo. J'aime faire le pitre et amuser la galerie. Je ne suis pas du tout du genre coincé alors, si le ridicule n'a jamais tué personne, pourquoi ne pas y sauter à pieds joins ? Bon, je ne fais pas le con au boulot, hein (quoi que rien ne soit impossible et l'improbable est chez moi prévisible) je sais me tenir en société... En général. Il faut dire que je viens du Texas et des texans, j'ai pas seulement hérité de leur accent de merde mais aussi de leurs manières "chaleureuses et familières" pour certains et "rustres et grossières" pour certains autres. Disons qu'on ne mange pas nos ailes de poulet avec une fourchette et un couteau. Au Casino, je soigne mes manières et j'essaie de sublimer mon accent le plus possible mais quand on chasse le naturel, il revient au galop. Ça fait mon charme, ça me rend accessible et surtout, ça décoince les petites dames trop constipées. Et j'ai de bonnes valeurs chrétiennes aussi. Je vais de moins en moins à l'église mais ça ne m'empêche pas de croire en Dieu et d'avoir foi en Lui. Amen.
Côté Pile :
Bon, j'ai beau croire en Dieu, je ne suis pas un saint. Bien sûr, j'abuse des bonnes choses et la plupart des hommes d'églises seraient outrés de mes péchés mais je ne fais jamais rien de vraiment mal. Jésus a dit : "Aimez-vous les uns les autres !" et c'est ce que je fais, j'aime les autres, beaucoup... Je n'ai pas l'habitude de m'attacher à un port, je suis plutôt de ceux qui naviguent d'une île à l'autre. Mais je ne fais pas de mal à personne et donc, je suis en paix avec le Créateur. Bon, il y a des petits pointilleux qui vont souligner ici le fait que je me bats dans la cave du Vesuvio à l'occasion et donc, que je blesse mes adversaires mais pour moi, c'est juste du combat comme la lutte ou la boxe... C'est un sport qui défoule et le risque, le danger de chaque instant, c'est ça qui rend le jeu intéressant. Et parlant de jeu, mon plus grand péché est décidément ma passion (voir ma dépendance) du jeu. Je pari beaucoup, constamment. Ce n'est pas pour rien que je me suis fait engager au Casino, hein. Mais je fais bien mon boulot et les clients m'aiment alors il est bon de joindre l'utile à l'agréable...
Principale qualité : Je suis beau !
Principal défaut : Le jeu...
~ OUTSIDE ~
Description physique :
Côté Face :
Sur le dessus de mon crâne, évidemment, il y a mes cheveux blonds, courts mais d'une longueur nécessaire pour pouvoir les coiffer avec style. J'ai les cheveux bien épais et je ne m'en fais pas quant à leur chute. Mon papa a encore les siens, les miens tiennent bon.
En dessous, il y a mon front que je trouve trop grand, trop proéminent mais on m'a dit que c'est normal quand on fait de la muscu, car tout le gras du visage fond, les joues se creuses et il n'y a que les os qui restent. Donc, c'est normal mais ça me dérange quand même un peu.
Par contre, la première chose qu'on remarque chez moi, c'est mes yeux. Bleus d'acier, on dit. Et j'ai cette jolie étincelle amusée qui brille dans mon regard en permanence. Mes yeux semblent dire «Comme je suis heureux en ta compagnie !» et ça charme à coup sûr.
Mon nez n'est pas trop mal mais il devient trop large quand je souris, mais quand je souris, le regard est immédiatement rivé à mes dents blanches et droites de pub dentifrice. Ma langue est longue, fine et toute rose. Mes lèvres, elles, sont justement trop fines et trop roses à mon goût mais je sais y faire alors je n'ai jamais eu de plaintes.
Comme je l'ai dit, la gonflette, ça fait fondre tout le gras du visage (entre autres). Alors mes pommettes sont bien saillantes et mon menton un peu pointu mais ça me va plutôt bien. J'ai une belle gueule et il parait que je ressemble un peu à David Valmont mais je ne l'ai jamais rencontré alors, je ne saurais dire. Cela dit, je paris ce que vous voulez qu'il n'est pas plus mignon que moi !
Côté Pile :
D'abord, il y a mes cheveux qu'on voit en premier. Le derrière de ma tête est couvert de cheveux blonds plus court que le dessus mais si on les regarde attentivement, on peut voir leurs racines plus foncées. Teinture ? Faudra loucher là où ça compte pour le savoir...
La peau de ma nuque et du haut de mes épaules est généralement plus rouge que le reste de mon corps à cause du soleil qui me cuit à cet endroit. Faut dire que je courbe un peu l'échine, mes muscles sont si lourds, vous savez... J'ai de beaux deltoïdes et des épaules bien larges que je travaille un jour sur deux en salle de gym (le jour du "haut du corps", le jour suivant, vous l'aurez deviné, est dédié au "bas du corps" ainsi qu'à l'axe central). Mon dos aussi est bien musclé et beaucoup plus fin à la taille qu'aux épaules.
Mes fesses sont bien rondes et dures et surtout épilées de près et très propres. Évidemment, mes cuisses et mes mollets sont aussi en bétons quoique ces derniers soient peut-être un peu trop veinés à mon goût. Quand on regarde le reste, on peut dire que j'ai de la veine.
Côté Face :
Sous le menton, il y a toujours mes épaules aussi larges que tout à l'heure mais sur le devant, on distingue mon tatouage, une grande croix, sur mon biceps droit. Je ne me souviens même plus pourquoi je me suis fait faire ça. J'ai dû perdre un pari, sans doute...
Ensuite, mes pectoraux bien gonflés et mes abdos saillants. Je travaille fort en gym mais quand j'admire le résultat, je me dis que le sacrifice en vaut la chandelle. C'est aussi pour mettre en valeur ces muscles que j'épile tout mon torse. Pour les aisselles, ça dépend mais le plus souvent, elles passent aussi à la cire.
Suivant la ligne sculptée de mes abdominaux, on arrive au centre de l'univers; ma bite ! Même au repos, elle trahit sa largeur et sa longueur ainsi que le fait que je ne sois pas juif. Elle repose sur un scrotum aussi épilé et généreux quant à son format. Elle est également surmontée d'une petite touffe de poils que je garde courts de deux millimètres. Ils sont clairs mais tirent un peu plus sur le brun que ma chevelure (mystery solved !).
Côté Pile :
Pour ce qui est des vêtements, généralement, je n'en porte pas. Enfin, dès que ça reste dans le domaine du légal, soit chez moi, dans les vestiaires de la salle de gym, sur les plages nudistes... Partout où je peux me balader à poil sans me faire arrêter, je le fais et plus il y a de témoins, mieux c'est. Je suis exhibitionniste ? Ouais ben je travaille assez mon corps, c'est pas pour rien, non mais ! En fait, c'est de la générosité. Je fais profiter le monde de ma beauté. Si vous aviez l'air de ce que j'ai l'air, je paris tout ce que j'ai que vous feriez de même !
Sinon, je revêts des vêtements sport mais néanmoins coûteux. J'ai toujours des espadrilles dernier cri et des vêtements de marques. Pour ce qui est de mes vêtements de combat pour le Vesuvio, on a libre arbitre mais j'avoue avoir un faible pour les shorts en lycra. Je sais que c'est cliché, ça fait WWE mais franchement, on est vraiment à l'aise et très soutenu, là-dedans. C'est une question de confort.
Côté Face :
Au Firefox Casino, vous me verrez bien habillé. TRÈS bien habillé. Coiffure impeccable et haleine fraîche. C'est la règle et je la suis toujours à la lettre. En fait, j'aime bien me soumettre à cette règle. J'ai l'impression de me déguiser et c'est sympa. Je joue le monsieur bien élevé. Je suis tenu à l'habit chic qu'ils nous imposent, à la cravate et aux gants blancs. Je trouve ce costume très comique mais néanmoins sexy. Enfin, si c'est moi qui le porte, c'est forcément sexy...
Ce qu'il traîne toujours sur lui : Un pièce de monnaie ?
~ STORY ~
Histoire :
~ Une Journée de la Vie d'un Ange ~
Côté Pile :
Je me réveille à la lumière du matin bleu. Je suis nu dans mon immense lit King, entre mes draps épais d'une blancheur toujours immaculée et ce, à dépit des conquêtes qui y défilent. Mais justement, j'ai appris à toujours avoir des draps propres, je suis un hôte attentionné...
Et juste comme je me retourne, je réalise que justement, je ne suis pas seul. Je n'ai pas trop le souvenir d'avoir ramené quelqu'un hier soir mais je n'ai pas trop de souvenirs d'hier soir. C'est une fille mais ça pourrait être un mec. C'est une brune mais elle pourrait être blonde. Elle est jolie mais elle pourrait être moche. Quand mon cerveau baisse la garde et que Popaul est au garde-à-vous, je n'ai aucun garde-fou et la surprise est parfois fortement désagréable au réveil. Si la minette est mignonne, ça ne l'empêchera pas d'avoir à déguerpir sous peu.
Je me tourne, jette un regard au cadran réveil et éteint l'appareil à peine une minute avant qu'il ne se met à sonner. Je file sous la douche et me lave en vitesse à l'aide d'un gel douche très parfumé qui me fait toujours remarqué. Pas autant que les pubs télé mais presque. Après m'être séché, je passa à la cuisine me préparer un bol de céréale en jetant un coup d'oeil à la belle dormeuse. C'est l'avantage de vivre dans un loft, toutes les pièces ne font qu'une (à l'exception des chiottes, bien sur). Avant de plonger ma cuillère dans le bol, je siffle entre mes dents comme le faisait mon père avec les chevaux. Un sifflement fort, strident, qui résonne dans l'appartement.
Je dis :
Allez ma belle ! Il faut se lever, il faut partir...Et je ne prends pas la peine de dissimuler mon accent à couper au couteau pour la donzelle. Appuyé contre le comptoir de la cuisine, je la regarde droit dans les yeux en commençant à bouffer. La fille se réveille puis, alerte, regarde mon réveil.
Elle dit :
Merde ! Je suis en retard !Elle saute dans ses vêtements en moins de temps qu'il n'en faut pour dire "En moins de temps qu'il n'en faut pour le dire !". Je suis soulagé de la voir aussi motivée, je déteste avoir à insister. Elle s'enfuit vers la porte de sortie. Avant de quitter mais sans s'arrêter, elle dit :
Merci pour la nuit ! On s'appelle ! Ce qui bien sûr, n'est qu'une formule de politesse. Nous n'avons pas échangé nos numéros de téléphone. Nous n'en avons probablement jamais eu l'occasion. J'aurais bien voulu profiter de cette demoiselle encore une fois mais il est trop tard...
Côté Face :
Je pénètre en ce lieu sacré en silence, respectueux. Je ne vais plus aussi souvent à l'église que je le devrais mais je tente de m'y remettre avec sérieux. Je trempe le bout de des doigts de ma main droite dans l'eau bénite avant de faire mon signe de croix. Depuis ma tendre enfance, je respecte ces rituels.
Je m'assoie sur un banc de bois vêtu proprement d'une belle chemise à manches longues et d'un pantalon noir. Je suis bien coiffé et je ne porte évidemment rien sur la tête. C'est important, ça aussi.
Il y a exceptionnellement beaucoup de monde et je comprends qu'il y a quelques baptêmes ce matin. Ça m'énerve ! Juste devant moi, il y a un mec vraiment bien musclé en T-shirt sans manche qui exhibe ses biceps. Le genre de mec qui pourrait être sexy mais qui, dans l'instant, m'énerve au plus haut point. Il est dans la maison de Dieu, bordel de merde ! Et il est vêtu comme une vulgaire rock star. Ce manque de respect me met en colère et c'est la raison pour laquelle je déteste les baptêmes, les premières communions, les confirmations... Ça attire n'importe quel con à l'église. Je n'aime pas tellement plus les mariages et les enterrements mais au moins là, les gens sont généralement vêtus convenablement.
Je ferme les yeux afin de me concentrer sur la parole de Dieu malgré mon énervement. Je finis par trouver une certaine paix intérieure quand un regard à ma montre me rappelle que je dois partir. J'aurais bien voulu prendre le temps d'aller me confesser mais il est trop tard...
Côté Pile :
Ma propre sueur colle le tissu de mon T-shirt contre la peau de mon dos mais je continue de monter un escalier qui mène nulle part. J'ai le souffle tellement court que je me sens incapable de formuler une phrase à voix haute mais je continue de monter un escalier qui mène nulle part. La climatisation ne suffit plus à apaiser le feu qui brûle mes muscles mais je continue de monter un escalier qui ne mène nulle part jusqu'à ce que cet escalier lui-même me dise que je suis arrivé à destination. C'est seulement après l'approbation de cette machine que j'en descends, exténué. Je n'arrive pas à croire que je paie aussi cher pour être l'esclave d'appareils de torture mais plus ça fait mal, plus ça paie en retour. Le pire, je n'ai fait que mon cardio.
Alors que j'attends que l'une des machines pour abdominaux se libère, je vois un mec passer tout près de moi d'un pas félin, le sourire aux lèvres, les traits un tantinet féminins, les cheveux un peu trop longs et humides de sueur qui lui retombent sur les yeux. Il est sexy. Il marche et entre dans les vestiaires. J'hésite à le suivre mais je tiens mordicus à terminer ma routine.
Quand à mon tour, après mes étirements, je retourne au vestiaire, le mec qui m'a souri fini de se rhabiller. Lorsqu'il me voit, il ralentit ses mouvements, prend son temps, ajuste bien ses vêtements. Faut pas être un génie pour comprendre qu'il veut me voir à poil. Alors, je lui donne ce qu'il veut. Je me dénude rapidement avant de lentement chercher mon gel douche dans mon sac de gym, de mettre ma serviette sur mon épaule plutôt autour de mes reins, puis, avant de me rendre aux douche, je prends le temps de jeter un regard dans le miroir afin de mater mon corps en sueur aux muscles bien éveillés. Et une fois que je suis certain qu'il a vu tout ce qu'il voulait voir, je pousse la porte du sauna.
Dans la vapeur, j'attends. Un mec. N'importe qui susceptible de me faire une gâterie avant que j'aille travailler mais personne ne vient. Je dois encore prendre une douche, me coiffer, bien m'habiller puis traverser la vallée pour arriver au casino. Déçu, je quitte la chaleur du sauna. J'aurais bien voulu prendre le temps de tirer un coup vite fait mais il est trop tard...
Côté Face :
Un dernier coup d'oeil dans le rétroviseur, je suis beau comme un coeur. Je traverse le parking souterrain du Firefox jusqu'à l'ascenseur où je monte jusqu'à l'étage du staff. En sortant de la cage, je croise Catherine Valmont, ma patronne. Dieu qu'elle est sexy, cette tigresse. J'aime ses grands airs de miss sur son piédestal. Je me ferais un plaisir de l'y faire dégringoler. Je sais que, par moment, je l'énerve avec mes manières un peu rustres mais au fond, je la titille, je parie. Bon, on sait bien, un accent de Paris, France, c'est la grande classe mais un accent de Paris, Texas, c'est grossier. Je ne suis pas assez idiot pour la provoquer ni pour lui faire du rentre dedans, enfin, pas déjà, mais elle ne perd rien pour attendre.
Sourire en coin, j'ajuste mon noeud papillon une dernière fois avant de me lancer dans la fosse aux lions. Les lumières qui clignotent, la musique des machines, l'odeur de cigarette. Que c'est bon d'être chez soi !
Je remplace la délicieuse Chelsea, une superbe afro-américaine avec ce qu'il faut où il faut, à la roulette numéro 24. Certains joueurs superstitieux en profitent pour quitter la table, persuadés que leur chance partira avec elle alors que d'autres, déjà sous mon charme ou alors juste dépendant du jeu, restent, impatients de pouvoir placer leur prochaine mise. Je me présente, je souris aux joueurs, je les invite à miser gros. Quand plus personne n'avance de jeton sur mon tapis vert, je lance la bille dans sa coupole, excité comme au premier jour.
Je déclare :
Les jeux sont faits, rien ne va plus !Côté Pile :
À la fin de mon quart de travail, je file au Vesuvio, excité comme au premier jour. Combattre, c'est un thrill réel, plus fort que la plus haute montagne russe. C'est poétique, même. C'est la force de l'homme contre lui-même, c'est le risque de souffrir mais la victoire, après la douleur et le dépassement de soi, est la plus belle des récompenses.
Au Vesuvio, j'aperçois Oriana au fond du bar qui discute avec un agent de sécurité. Ma douce Oriana... Une autre sexy tigresse que j'aimerais bien dompter mais, même si je cultive un goût accru pour le risque, je ne suis pas suicidaire.
Aux tables tournantes, j'avise Lars que je suis présent et que je veux combattre ce soir. Occupé à spiner, il se contente de me faire un thumb up avant d'enchaîner la prochaine chanson. Lars, le beau blond. À l'instar de Catherine et d'Oriana, Lars fait parti de la catégorie "Boss sexy en diable mais intouchable".
Deux heures plus tard, je me retrouve au centre de l'arène, encouragé par les hurlements de mes supporters. En réalité, je doute fortement que ces encouragements me soient dédiés mais peu importe, ils me donnent un coup de fouet. Je me bat contre un type deux fois ma grosseur mais je m'en fiche. Je vais l'envoyer au tapis. Soudain, il me décoche une droite en plein sur l'os de ma pommette gauche.
Je hurle :
Pas mon visage !Et je lui assène un uppercut qui le soulève du sol. Il s'étale de tout son long avec fracas. Il est KO et je gagne le match. Je suis euphorique. La victoire me rend euphorique. Mais j'ai crié victoire trop vite. Le gros lard finit par se relever et exige de poursuivre le combat. La règle ici c'est qu'il n'y a pas de règle. On se bat tant qu'on respire. Tu veux te battre, gros lard ? Viens ! Je suis prêt ! Les jeux sont faits, rien ne va plus !
Côté Face :
Ma voiture file à travers la vallée alors que la petite écervelée côté passager n'arrête pas de couiner.
Elle fait :
Wow ! Quand tu lui as donné le coup fatal, c'était géant ! T'es un champion, Braaaad !!!J'ai un frisson qui coure le long de ma colonne vertébrale quand j'entends la façon qu'elle a de massacrer mon nom. Une chance, elle est généreuse côté par choc.
De peine et de misère, je monte chez moi avec mon admiratrice sur les talons. Une fois dans mon loft, la porte verrouillée derrière nous, je retire non sans difficulté mes vêtements puis, nu, je m'effondre sur mon matelas. J'ai mal partout. Je suis exténué. La fille saoule se déshabille en dansant. Elle tente de m'allumer mais je n'ai même pas la force de relever la tête vers elle. Je me sens sombrer dans les bras de Morphée. Pauvre petite idiote. J'aimerais bien la baiser férocement mais il est beaucoup trop tard...
~ YOU ~
Nom/Surnom : G. O. O. D.
Age : 19 ans
Avatar : (
Jessie Pavelka)
Comment avez-vous connu Velvet Valley : En tirant une pièce de monnaie en l'air.
Commentaires, suggestions : J'ai piqué le concept du PV pour l'ensemble de la fiche, j'espère que ça vous va... Aussi, je dois avouer que j'ai un souci pour l'histoire. Ce PV, je le sens, je le vois, je sais exactement qui est Brad AUJOURD'HUI mais je suis incapable de percevoir sa jeunesse, sa famille, son passé avant Velvet. Bref, j'ai tenté de vous le présenter comme il est aujourd'hui, dans son quotidien et j'imagine qu'il se dévoilera peu à peu en RP (à vous en même temps qu'à moi), du moins, si vous acceptez la fiche telle qu'elle est.
*fait un grand sourire charmeur à l'oeil*Les codes ont-ils été envoyés : Oui